Salut-coucou !
Comme tu l'as peut-être remarqué, je suis rentrée de mon petit périple dans ce joli petit pays qu'est le Panama. Comme promis, voici la première partie de mon compte-rendu en photos !
C'est donc par la capitale du Panama, qui se nomme également Panama, que nous avons commencé nos petites excursions. Nous nous sommes tout d'abord rendus sur les hauteurs du Cerro Ancon, colline de verdure qui surplombe la ville et offre de superbes panoramas.
D'un côté, on a vue sur l'océan, cerné à droite par la vieille ville de style colonial et l'entrée du fameux canal, et à gauche par la ville moderne, dans laquelle les gratte-ciels tous plus clinquants les uns que les autres regardent d'un air hautain les petits immeubles un peu plus délabrés. Des contrastes saisissants qui font la notoriété de cette ville atypique.
De l'autre côté, on a une superbe vue dégagée sur l'extrémité sud du canal de Panama, avec les écluses de Miraflores, le port de Panama, ainsi qu'un petit aérodrome.
(Je sais, mes photos de paysages ont l'air de mauvaises qualité, avec ces fonds trop clairs et presque flous, mais l'atmosphère est tellement humide en cette saison que tout ce qui est en arrière-plan semble plongé dans une brume éternelle...).
Quand on se concentre sur ce qui se passe sur la colline, il y également beaucoup de choses à observer.
Durant notre ascension, nous avons entre autres fait la rencontre de petits singes qui nous ont semblé être des tamarins (et qui seraient, d'après mes recherches des tamarins à crête blanche, bien que je n'aie pas vu cette fameuse crête - cependant, ces petites bêtes sont tellement vives qu'on a à peine le temps de les voir, et c'est un miracle si j'ai pu sortir une photo à peu près potable sur ma multitude de tentatives !).
Des palmiers...
Des arbres...
Encore des palmiers...
Et puis au sommet, le drapeau panaméen, fait de bleu, de blanc et de rouge. Ce drapeau, planté au sommet du Cerro Ancon et visible depuis une bonne partie de la ville de Panama, est le seul drapeau restant en place 24h/24, tous les jours de l'année. La nuit, des lumières le gardent hors de l'ombre, car au Panama, il est interdit de laisser le drapeau national dans l'obscurité, et tous les autres doivent être ramassés avant la tombée de la nuit (et quand on voit la quantité de drapeaux qui fleurissent un peu partout, y compris sur les voitures, ça ne doit pas être une mince affaire de ramasser tout ça tous les soirs, et de les remettre en place tous les matins !).
Le Cerro Ancon est également un lieu d'observation privilégié des oiseaux migrateurs, notamment des rapaces. Un comptage quotidien y est effectué par des personnes spécialement employées pour ça. On en compte jusqu'à 2 millions par saison migratoire !
La matinée s'est poursuivie dans les rues de la vieille ville de Panama, en contrebas.
Ici aussi, tout est contrasté : les demeures en ruines s'accrochant aux bâtiments fraîchement rénovés, les voitures rutilantes garées au pied de ces maisons de style typiquement colonial... un plaisir plutôt déroutant pour les yeux !
Point de chiens de garde, même si les toutous (mascotas) sont légion au Panama : on a des vautours de garde ! ^^
Petite visite de l'église San Francisco, avec ses jolis vitraux :
De la verdure et de l'architecture...
Et puis encore quelques petites rencontres...
Après un excellent et copieux déjeuner chez René (où l'accueil est vraiment super !), nous partons à l'assaut de l'incontournable canal, et des écluses de Miraflores, qui constituent l'un des trois ensembles d'écluses du canal.
On peut certes douter de l'intérêt esthétique et architectural de telles installations, mais voir ces énormes porte-containers passer au centimètre près, dans un ballet rôdé à la minute, c'est réellement impressionnant et passionnant.
Le lendemain, avant de quitter notre hôtel en ville pour partir vivre de nouvelles aventures, nous sommes allés rencontrer une communauté indigène en plein cœur de la jungle. Je t'en parlerai dans la seconde partie de ce roman-photo, mais avant ça, je souhaitais terminer cette première partie avec ma soirée d'anniversaire un peu... hors du commun... ^^
Après avoir englouti un excellent dîner dans une hacienda typique, et eu droit à une interprétation du "Feliz Cumpleaños" très... vigoureuse, nous avons eu la surprise de voir arriver, à la place de notre autocar blanc et tout ce qu'il y a de plus basique, un vieux bus sans fenêtres, décoré comme un camion volé et brillant de mille feux, équipé d'énormes enceintes crachant "Beat it" à plein régime. Un bus-discothèque ! Qui a parcouru chaque rue de Panama à 20km/h, décibels à fond, sans que ça ne semble choquer personne (pas même les flics) sur notre passage. Une charmante escapade dans un monde parallèle complètement insoupçonné ! ^^
D'un côté, on a vue sur l'océan, cerné à droite par la vieille ville de style colonial et l'entrée du fameux canal, et à gauche par la ville moderne, dans laquelle les gratte-ciels tous plus clinquants les uns que les autres regardent d'un air hautain les petits immeubles un peu plus délabrés. Des contrastes saisissants qui font la notoriété de cette ville atypique.
De l'autre côté, on a une superbe vue dégagée sur l'extrémité sud du canal de Panama, avec les écluses de Miraflores, le port de Panama, ainsi qu'un petit aérodrome.
(Je sais, mes photos de paysages ont l'air de mauvaises qualité, avec ces fonds trop clairs et presque flous, mais l'atmosphère est tellement humide en cette saison que tout ce qui est en arrière-plan semble plongé dans une brume éternelle...).
Quand on se concentre sur ce qui se passe sur la colline, il y également beaucoup de choses à observer.
Durant notre ascension, nous avons entre autres fait la rencontre de petits singes qui nous ont semblé être des tamarins (et qui seraient, d'après mes recherches des tamarins à crête blanche, bien que je n'aie pas vu cette fameuse crête - cependant, ces petites bêtes sont tellement vives qu'on a à peine le temps de les voir, et c'est un miracle si j'ai pu sortir une photo à peu près potable sur ma multitude de tentatives !).
Des palmiers...
Des arbres...
Encore des palmiers...
Et puis au sommet, le drapeau panaméen, fait de bleu, de blanc et de rouge. Ce drapeau, planté au sommet du Cerro Ancon et visible depuis une bonne partie de la ville de Panama, est le seul drapeau restant en place 24h/24, tous les jours de l'année. La nuit, des lumières le gardent hors de l'ombre, car au Panama, il est interdit de laisser le drapeau national dans l'obscurité, et tous les autres doivent être ramassés avant la tombée de la nuit (et quand on voit la quantité de drapeaux qui fleurissent un peu partout, y compris sur les voitures, ça ne doit pas être une mince affaire de ramasser tout ça tous les soirs, et de les remettre en place tous les matins !).
Le Cerro Ancon est également un lieu d'observation privilégié des oiseaux migrateurs, notamment des rapaces. Un comptage quotidien y est effectué par des personnes spécialement employées pour ça. On en compte jusqu'à 2 millions par saison migratoire !
La matinée s'est poursuivie dans les rues de la vieille ville de Panama, en contrebas.
Ici aussi, tout est contrasté : les demeures en ruines s'accrochant aux bâtiments fraîchement rénovés, les voitures rutilantes garées au pied de ces maisons de style typiquement colonial... un plaisir plutôt déroutant pour les yeux !
Point de chiens de garde, même si les toutous (mascotas) sont légion au Panama : on a des vautours de garde ! ^^
Petite visite de l'église San Francisco, avec ses jolis vitraux :
De la verdure et de l'architecture...
Et puis encore quelques petites rencontres...
C'est à moi qu'tu parles ?
Après un excellent et copieux déjeuner chez René (où l'accueil est vraiment super !), nous partons à l'assaut de l'incontournable canal, et des écluses de Miraflores, qui constituent l'un des trois ensembles d'écluses du canal.
On peut certes douter de l'intérêt esthétique et architectural de telles installations, mais voir ces énormes porte-containers passer au centimètre près, dans un ballet rôdé à la minute, c'est réellement impressionnant et passionnant.
Le lendemain, avant de quitter notre hôtel en ville pour partir vivre de nouvelles aventures, nous sommes allés rencontrer une communauté indigène en plein cœur de la jungle. Je t'en parlerai dans la seconde partie de ce roman-photo, mais avant ça, je souhaitais terminer cette première partie avec ma soirée d'anniversaire un peu... hors du commun... ^^
Après avoir englouti un excellent dîner dans une hacienda typique, et eu droit à une interprétation du "Feliz Cumpleaños" très... vigoureuse, nous avons eu la surprise de voir arriver, à la place de notre autocar blanc et tout ce qu'il y a de plus basique, un vieux bus sans fenêtres, décoré comme un camion volé et brillant de mille feux, équipé d'énormes enceintes crachant "Beat it" à plein régime. Un bus-discothèque ! Qui a parcouru chaque rue de Panama à 20km/h, décibels à fond, sans que ça ne semble choquer personne (pas même les flics) sur notre passage. Une charmante escapade dans un monde parallèle complètement insoupçonné ! ^^
(La photo est pourrie, mais c'est juste pour donner une idée du truc...).
Superbe ! et bon retour :)
RépondreSupprimerBisous Mariane <3
Merci Cécile :) Gros bisous ! <3
SupprimerOuuh le rêve... ça a l'air beau ! Bientôt bientôt ;)
RépondreSupprimerProfite bien !
C'est déjà terminé malheureusement !
SupprimerMais c'était beau, en effet ;)